« Maintenant quand les justes veulent écouter une parole de Dieu, ils font d’abord la parole et la construisent, la fabriquent, c’est-à-dire, par leurs actions positives, ils atteignent la capacité d’écouter les paroles divines ».
Nous allons au Texte sacré avec toutes nos expériences, nos joies, nos souffrances, nos péchés, nos repentirs, nos souvenirs, nos désirs, nos émotions, nos rêves ; nous allons à lui avec notre culture humaine, avec nos lectures anciennes ou récentes, avec nos tâches, avec le temps liturgique dans lequel nous nous trouvons alors, que le paysage que nous regardons par la fenêtr

François Cassingena-Trévedy, Quand la parole prend feu, propos sur la lectio divina, vie monastique N° 36, Abbaye de Bellefontaine, extrait 65-66.
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